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Mes futurs sont plus lointains que bien d'autres


Puisque l’histoire d’Hot Space démarre sur les rêves de son héroïne (rappelez-vous, en planche une, la belle est endormie), il serait intéressant de raconter dans quel temps l’action prend place. Ainsi, l’homme est installé dans la Voie Lactée depuis peu de temps, parce qu’il a réussi à comprendre des points fondamentaux dans la physique, et surtout, qu’il a réussi à lier l’astrophysique et la physique quantique en une seule théorie.

En substance, j’ai pris la totale liberté de penser que le Boson de Higgs aurait été découvert au début des années 80, mais que surtout, les hommes, apprentis sorciers en puissance (et surtout à cette époque de l’ère moderne) auraient réussi à en changer la masse. Si la conséquence d’une telle prouesse sur le Boson de Higgs devrait, en théorie, provoquer la fin de l’univers tel que nous le connaissons, j’ai « limité » la catastrophe, en suggérant que l’homme aurait découvert, grâce à cette manipulation, des nouvelles lois de la physique, lui permettant d’accéder à une source d’énergie propre d’une très grande rentabilité (un millimètre-cube de cette « nouvelle physique » pourrait faire avancer un porte-avions pendant 8 ans), lui permettant de maitriser les lois de la gravitation et ainsi rendre les voyage intersidéraux plus confortables, lui permettant de créer des champs de confinement (ou champs de force) créant ainsi des « bulles d’atmosphère » au milieu de l’espace, et enfin, lui permettant de créer des trous de vers, pour aller d’un endroit à l’autre de la galaxie en moins d’une semaine terrienne...

Nous avons donc un niveau de technologie très en rupture par rapport à ce que nous connaissons aujourd’hui, mais, puisque tout ceci se déroule depuis le milieu des années 80, nous avons une esthétique très influencée par cette période.

Mais au final, même si mon imagination me pousse dans ces technologies fantasques, je n’invente rien : toutes ces fantaisies existaient dans le genre de la Science Fiction « pulp » des années 70 et 80...Il n’y a qu’à revoir « l’Empire Contre-Attaque » pour s’en rendre compte.

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